Le froid, le sombre et la désolations [libre]

Lonely:

Je marchais dans les couloirs, en espérant de trouver de la nourriture. Mais rien n’y était. Tant pis. Je ne cherchais rien de plus que de la nourriture. La famine me tortillait l'estomac et je n’arrivais plus à penser a quoi que se soit avec de m'avoir rassasié. J'avais faim, peur et terrible sentiment de peine et de solitude. Il faisait très sombre puis il faisait froid. Ici, c'était une place qui n'était pas très accueillante pour plusieurs d'entre nous.

Mes pattes effleurait les quelques flaques d'eau sur le sol. L'eau était froide et glaciale, comme l'atmosphère y était aussi. Personne n'était là, puis personne ne voudrais y venir aussi. L'odeur des maladies diverse était là, aussi. Quoi que je ne m’y attendais pas. La saison de neiges n'avait guère commencé puis normalement les rats venaient s'y promener en essayant de retrouver une source de confort. L'odeur d'un rats en décomposition m'interrompue de mes pensées. Je me levai, puis me dirigea vers le vieux fond du couloir, pour par la suite apercevoir le rat. Il ne gisait pas au sol, mais il était mort, d'une certaines de ses maladies. Je ne savais laquelle puis je ne voulais le connaitre.

Un frisson me parcoure le long du corps au contact de l'air frai. Une fenêtre avait été cassée de l'extérieur du bâtiment puisqu'il y avait de la vitre cassé au bout des couloirs. Quelques feuilles mortes effleurèrent mon pelage, lorsqu'un coup de vent frappa le reste de vitre accroché à la fenêtre. Je m’approchai de celle-ci pour mieux humé l'air. Rien n’était là, sauf l'odeur nauséabonde de rats mort et en décomposition. Le soleil ne parvenait a rentré par la seule ouverture possible. Il faisait sombre, froid et il n'y avait aucune manière a ce qu'il puisse y avoir une seule chance de s'enfuir de cet enfer.

Je m'assise près de la fenêtre, et en direction du mûr qui se trouvait en fasse de moi. Rien ne pouvais me libéré...me sauvé...rien...
Je tournai la tête à l'approchement d'un rongeur. Je me fis très discrète lorsque je me déplaçai doucement vers lui. J’avais très faim, je n’avais pas remarqué son odeur, parce que celle de l'autre rats, mort infestait les lieux. J’étais maintenant a quelle que longueur de queue de lui, lorsqu'un autre chien surgi de nulle part, qui, par la suite fit décollé le rongeur. Ma seule chance de manger aujourd'hui c'était envolé. La nuit arrivait a grand pats, puis je devais aller faire les autres pièces, pour trouver d'autres petits rongeur ou autre nourriture.

L'ombre de l'autre chien était là. Je l'observai. Tout comme lui le faisait. Mon regard sans espoir croisa le sien. Il était aussi maigre que moi. Il avait le pelage trempé. Je ne savais pourquoi. Il avait l'air fier d'avoir fait fuir mon seul repas de la journée. Je m’avançai vers lui pour mieux le reconnaitre mais l'obscurité m'en empêchait. Il aurait fallu que j'aille un autre sens pour le reconnaitre puisque mon odora était inutile pour cette situation, tout comme ma vue. Je ne percevais pas a le reconnaitre.

Je fis quelques pats devant, pour le dépassé. Je ne voulais pas lui crier dessus parce qu'il avait fait fuir mon repas. Non. Si non, j'aurais subis le même sort que j'ai déjà vécu. Mes pattes devenaient de plus en plus lourdes et j’arrivais à peine à marcher. Ma dernière force avait été utilisée. Je fis un effort malgré sa, puis je me dirigeai plus loin de l'inconnu.